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Anaël.
Prince de l'amour
(Nilson Agustín Caraballo Rosario)
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Anaël.
Prince de l'amour
(Nilson Agustín Caraballo Rosario)
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Amour, paix et bonheur pour vous, sont mes vœux en partageant ce souvenir. La photo du 16 janvier 2024 a été recadrée. Ci-dessous, vous verrez l’image entière. |
Dans l'Orient ancien, tout le monde sait que la réalité de la vie se situe au-delà du monde de Maya ou de l’illusion dans lequel nous vivons.
Il y a de la douleur dans ce monde et c'est pourquoi le Rituel tibétain des morts cherche à guider les âmes des désincarnés afin qu'elles ne renaissent pas.
Dans l'ésotérisme authentique, la libération de la conscience est recherchée afin de rester sur les plans supérieurs.
L’Avatara Krishna, qui vivait il y a plus de cinq mille ans sur les terres sacrées de l’Inde, enseignait cette même doctrine.
En Moyen-Orient, a vécu Jésus-Christ, qui a dit : Cherchez la vérité et la vérité vous libérera.
Le processus de la mort vu avec le troisième œil :
Le Lama tibétain Mardi Lopsang Rampa a expliqué le processus de la mort physique, à la lumière de la Science cosmique :
"Le corps baigne dans une sorte de halo multicolore : l'Aura. Ceux qui sont expérimentés peuvent déduire de l'intensité des couleurs, l'état de santé d'une personne, son intégrité et son degré d'évolution. Cette Aura est une radiation produite par le flux vital intérieur, le moi ou l'âme. La tête est entourée d'une sorte d'auréole qui est également émise par ce flux. À la mort, la lumière s'éteint : l'âme a quitté le corps et elle est en route vers la nouvelle phase de son existence. Elle devient une ‘ombre’ et flotte, peut-être parce que le choc brutal de sa libération l'a étourdie. Il est possible qu'elle n'ait pas une conscience totale de ce qui lui arrive. C'est pourquoi des lamas assistent les moribonds et les instruisent des stades par lesquels ils vont passer. Sinon, l'esprit resterait attaché à la Terre par les désirs charnels. Le rôle des prêtres est de briser ces liens".
(Fin de citation, Le Trosième œil, chapître 18, Mardi Lobsang Rampa).
Aujourd'hui, je vais également partager avec vous l'Office pour guider les morts, tel qu'il est célébré au Tibet sacré depuis des siècles.
Faites attention, cher disciple, car cet ancien rituel a été révélé par le Docteur Rampa, mû par la compassion, pour vous empêcher de continuer à être lié à la terrible Roue des morts et des naissances. Dans ce cas, un Office réligieux est décrit pour guider généralement tous les défunts. Mais le Rituel des Morts est également accompli pour une seule personne, qui est généralement un disciple de notre école, ou quelqu'un mentalement préparé. Dans ce cas, le Lama officiant suivra toutes les étapes qui ont été décrites dans le Bardo Thödol, ou Livre des Morts tibétain, pour conduire l'âme désincarnée vers une destinée meilleure.
Le rituel tibétain des morts :
"Nous avions fréquemment des offices pour Guider les Ombres. Si la mort n'inspire aucune terreur aux Tibétains, ils pensent que certaines précautions peuvent grandement faciliter le passage de cette vie dans l'autre. Il est nécessaire de suivre des itinéraires précis et de diriger convenablement ses pensées. Les services avaient lieu dans un temple en présence de trois cents moines environ. Un groupe de quatre ou cinq Lamas télépathes s'asseyaient en cercle au centre, en se faisant face. Pendant que les moines chantaient sous la direction d'un abbé, ils s'efforçaient de maintenir un contact télépathique avec les âmes en détresse. Il est impossible de traduire les prières tibétaines comme elles le méritent, mais voici un essai :
— Écoutez les voix de nos âmes, vous tous qui errez sans guide dans les confins de l'au-delà. Les vivants et les morts vivent dans des mondes séparés. Où les visages des morts peuvent-ils être vus ? Où leurs voix peuvent-elles être entendues ?
Le premier bâtonnet d'encens est allumé pour appeler une ombre errante et lui indiquer sa route.
— Écoutez les voix de nos âmes, vous tous qui errez sans guide. Les montagnes se dressent vers le ciel, mais aucun son ne brise le silence. Une douce brise fait frémir les eaux et les fleurs sont encore épanouies. Les oiseaux ne s'envolent pas à votre approche. Comment vous verraient-ils ? Comment sentiraient-ils votre présence ?
Le deuxième bâtonnet d'encens est allumé pour appeler une ombre errante et lui indiquer sa route.
— Écoutez les voix de nos âmes, vous tous qui errez. Ce monde est un monde d'illusion. La vie n'est qu'un rêve. Tout ce qui est né doit mourir. Seul le chemin du Bouddha conduit à la vie éternelle.
Le troisième bâtonnet d'encens est allumé pour appeler une ombre errante et lui indiquer sa route.
— Écoutez les voix de nos âmes, vous tous les puissants de ce monde, vous qui avez régné sur les montagnes et imposé votre loi aux fleuves. Vos règnes n'ont duré qu'un instant et les plaintes de vos peuples n'ont pas connu de fin. Un flot de sang coule sur la Terre et les soupirs des opprimés font trembler les feuilles des arbres.
Le quatrième bâtonnet d'encens est allumé pour appeler les ombres des rois et des dictateurs et leur indiquer la route.
— Écoutez les voix de nos âmes, vous tous les guerriers qui avez envahi, blessé et donné la mort. Où sont vos armées ? La Terre gémit et les herbes folles recouvrent les champs de bataille.
Le cinquième bâtonnet d'encens est allumé pour appeler les ombres solitaires des généraux et des seigneurs de la guerre et leur indiquer la route.
— Écoutez les voix de nos âmes, vous tous artistes et érudits qui avez consacré votre vie à la peinture et à l'art d'écrire. Vos yeux se sont fatigués en vain. En vain, vos plumes se sont usées. Vous avez sombré dans l'oubli et vos âmes doivent poursuivre leur quête.
Le sixième bâtonnet d'encens est allumé pour appeler les ombres des artistes et des érudits et leur indiquer la route.
— Écoutez les voix de nos âmes, vous belles vierges et vous femmes de haut lignage dont la jeunesse est semblable à un frais matin de printemps. À l'étreinte des amants succède le déchirement des cœurs. À l'automne succède l'hiver. Les arbres se dessèchent, les fleurs se fanent et la beauté n'est bientôt plus qu'un squelette.
— Écoutez les voix de nos âmes, vous belles vierges et vous femmes de haut lignage dont la jeunesse est semblable à un frais matin de printemps. À l'étreinte des amants succède le déchirement des cœurs. À l'automne succède l'hiver. Les arbres se dessèchent, les fleurs se fanent et la beauté n'est bientôt plus qu'un squelette.
Le neuvième bâtonnet d'encens est allumé pour appeler leurs ombres afin qu'elles soient guidées et libérées des liens d'ici-bas.
Dans l'obscurité lourde d'encens, le vacillement des lampes faisait danser des ombres vivantes derrière les statues dorées. La tension grandissait : concentrés, les moines télépathes s'évertuaient à rester en contact avec ceux qui avaient quitté ce monde sans se libérer cependant de leurs attaches terrestres.
Des moines en robe rouge assis par rangées, les uns en face des autres, entonnaient la litanie des morts, cependant que des tambours invisibles battaient au rythme du cœur humain. Le temple était comme un gigantesque corps. De divers points, parvenaient jusqu'à nous le grondement des organes internes, le gargouillis des liquides et le sifflement de l'air dans les poumons. La cérémonie se poursuivait par l'instruction des ombres et le rythme de ces bruits changeait, devenait de plus en plus lent jusqu'à ce qu'enfin l'esprit quitte le corps : un bruissement, un râle étranglé — puis le silence. Le silence qui vient avec la mort. Alors les moines les moins sensibles avaient conscience d'être entourés d'autres êtres qui attendaient en écoutant. L'instruction télépathique se poursuivait et la tension diminuait graduellement : les esprits inquiets passaient à l'étape suivante de leur voyage".
(Fin de citation, Le Trosième œil, chapître 18, Mardi Lobsang Rampa).
La reincarnation sur d'autres planètes:
Toute personne a le droit de vivre sur une planète supérieure, à condition de se préparer psychologiquement à s’adapter au niveau moyen de conscience de ce monde:
"Nous croyons fermement que la vie nous est donnée maintes et maintes fois. Mais pas seulement sur la Terre. Il existe des millions de mondes et nous savons qu'ils sont habités pour la plupart. Leurs habitants peuvent être très différents des êtres que nous connaissons et il est possible qu'ils nous soient supérieurs. Que l'homme représente le point le plus avancé et le plus noble de l'évolution est une opinion que nous n'avons jamais partagée. Nous pensons qu'on trouvera ailleurs des formes d'humanité supérieures qui ne lancent pas de bombes atomiques. J'ai vu au Tibet des textes où il était question d'étranges machines volantes, appelées généralement ‘Chars des Dieux’. Le Lama Mingyar Dondup m'a raconté qu'un groupe de Lamas tibétains étant entré en communication télépathique avec ces ‘dieux’, ceux-ci avaient dit qu'ils surveillaient la Terre, sans doute comme les hommes observent les animaux sauvages et dangereux d'un zoo".
(Fin de citation, Le Trosième œil, chapître 18, Mardi Lobsang Rampa).
Notre Système Solaire et le groupe local de galaxies. Auteur : Pablo Carlos Budassi. Travail personnel. Wikimédia 4.0. Détails.> |
Des mondes paradisiaques existent dans notre Système Solaire et au-delà.
Mardi, Lobsang Rampa vous en a parlé depuis le début. Ce n’est pas un nouveau sujet en discussion. Mais Je veux que vous atteigniez la joie de demeurer véritablement dans un monde meilleur, pour lequel il est essentiel d'avancer avec le Travail ésotérique Gnostique-Tibétain. >
J'ai eu l'honneur de vous parler à nouveau.
Je suis très reconnaissant à tous ceux qui lisent ces enseignements, les partagent et gardent les fichiers en sécurité, au cas où un jour ces textes pourraient être supprimés par quelqu'un.
La paix soit avec toi.
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Mardi 21 mai 2024
(Basés sur le Temps universel coordonné / UTC)
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