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Anaël.
Prince de l'amour
(Nilson Agustín Caraballo Rosario)
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| Stupas et colombes. Monastère bouddhiste de Gandantegchinlin, Oulan-Bator, Mongolie. Photographié par : Marcin Konsek, 19 juillet 2010. Wikimedia commons 4.0. Voir plus de détails. > |
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Un vrai refuge de paix est recherché par les amoureux de la sagesse, où le trouve-t-on ¿?
D’autres cherchent à profiter du plaisir que leur procure la douleur des autres.
Et certains ne sont pas sadiques mais ils se réfugient dans les fêtes ou dans la drogue ou ils prennent le service du patron qui paie le plus, même s'il est l'ennemi de leurs propres enfants ou de leur Patrie.
Chacun a ses préférences qu’il faut respecter, mais où veut-on aller ?
Si vos objectifs sont bons mais que vous suivez les conseils de vos ennemis, vous n’aurez pas une bonne fin.
La doctrine dit que la paix est un état intérieur, mais la vérité est que nous aimerions demeurer libres dans un havre de paix et sans avoir à subir le harcèlement permanent de l'Élite satanique qui dévore des enfants et des territoires.
Nous avons tous le droit de vouloir vivre dans un monde meilleur. C’est pour cette raison qu’un nouveau message libérateur a été publié.
La route est libre, cependant, j'avoue avoir visité la grande ville futuriste de l'Île promise qui es complètement autosuffisante.
C'est une véritable ville escolaire dans le monde physique, mais les entrées sont protégées par des systèmes scientifiques de la quatrième dimension ou de l'hyperespace.
En général, les abris sont d’abord construits dans le monde physique puis transférés dans la quatrième dimension.
Mais je parle de vraies villes où de vraies personnes vivent et mangent des aliments biologiques qui ont été préparés pour ressembler à des aliments citadins ordinaires mais avec une base naturelle.
Par exemple : vous pouvez manger des hamburgers ou des hot-dogs,, mais en réalité ce sont des légumes cultivés selon un système écologique, qui ont des saveurs et des apparences différentes qui attirent le citoyen ordinaire.
Il s'agit de rendre la vie plus confortable aux nouveaux arrivants et je dis cela parce que j'ai essayé ces délicieuses spécialités.
Une atmosphère de camaraderie y règne.
L'enseignement est soutenu par la projection de films montrant la vie sur d'autres planètes, les lois du cosmos, l'histoire de notre Système Solaire et de la galaxie, etc.
L'énergie qui y règne nous fait ressentir en permanence une ambiance de fête.
Au départ, on nous a enseigné que nous devons renoncer à toute recherche de la paix à l'exterieur de nous.
Les grands guides de l’humanité nous ont montré un Chemin Droit qui mène à la libération finale.
Mais soyons honnêtes, la plupart d’entre nous ne sont pas encore prêts à renoncer totalement à toute forme d’existence personnelle.
C’est pour cette raison que les hiérarques du cosmos, animés par la compassion, nous ont montré d’autres moyens de mettre fin à la souffrance.
L’une de ces options est connue sous le nom de Chemin en Spirale.
Sur ce chemin, l'aspirant conquiert progressivement le droit de vivre sur des plans supérieurs, à mesure qu'il travaille sur lui-même et se sacrifie pour l'humanité. >
Cela est possible parce que dans l’univers il existe une infinité de planètes habitées avec différentes moyennes de conscience éveillée.
Il existe des mondes où les gens vivent heureux, avec une moyenne de 50, 70 ou 80 pour cent de conscience, par exemple.
Toutes les planètes supérieures ne jouissent pas d’une conscience à 100 pour cent comme le Soleil. Bien sûr que non. Nous ne pouvions pas exagérer.
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Westmount, Saint Helier, Jersey. Autheur : Man vyi . Auto-photographié. |
C’est aussi la raison pour laquelle il existe sur la planète Terre diverses dimensions supérieures peuplées d’êtres ayant atteint un certain niveau de bonheur.
Il y a 9 cieux avec des niveaux de conscience différentes. > Mais tout près de nous se trouve le Paradis terrestre, situé dans la quatrième dimension. Cela nous renvoie à la croyance populaire selon laquelle il existe un jardin d’Eden.
De nombreux bodhisattvas ont renoncé au bonheur de l'Absolu pour continuer à préserver leur corps physique et continuer à servir l'humanité depuis d'autres régions cosmiques comme le Paradis terrestre de la quatrième dimension. >
Samaël Aun Weor en tant qu'Avatar du Verseau a d'abord rempli son devoir de nous montrer Le Chemin Droit, qui signifie une œuvre complète, mais il l'a ensuite élargi avec ses explications. Et maintenant c'est à notre tour de clarifier complètement ces connaissances. Dans son livre Les Trois Montagnes, Samaël fait sa catharsis et raconte comment les dieux du Nirvana l'ont tenté en lui montrant le bonheur des mondes paradisiaques, pour lui faire renoncer à sa détermination à suivre le Chemin Droit et douloureux qui signifie la libération totale dans une seule réincarnation.
Pour mieux comprendre cela, je vais vous transcrire quelques fragments fondamentaux du chapitre 18 de Les Trois Montagnes, intitulé : Une aventure suprasensible:
"Je ne pourrai jamais oublier les moments de la fin de la Cinquième Initiation du Feu. Après tous ces processus récapitulatifs, je dus affronter courageusement un Gardien nirvanique terriblement Divin.
Le Bienheureux Seigneur de Perfection dit en me montrant le Sentier nirvanique en spirale : « Ceci est un bon travail ». En indiquant ensuite la voie directe, il s’exclama d’une voix forte, comme un rugissement de lion, en disant : « Ceci représente un travail supérieur ».
"Je le vis ensuite s’avancer vers moi avec ce formidable impératif des grandes majestés ; il m’interrogea et je lui répondis, et le dialogue suivant s’établit :
« Par lequel de ces deux chemins allez-vous poursuivre maintenant ? ».
« Laissez-moi y réfléchir ».
« Ne réfléchissez pas, dites-le immédiatement, définissez-vous ! ».
« Je prends le chemin direct qui conduit à l’Absolu ».
« Mais que dites-vous ? ne vous rendez-vous pas compte que ce chemin est douloureux ? ».
« Je répète : je pars pour l’Absolu ».
« Comment se fait-il que vous vous engagiez par là ? Ne comprenez-vous pas tout ce que vous allez souffrir ? Que vous arrive-t-il, monsieur ? ».
« Je pars pour l’Absolu ».
« Bon, vous êtes averti ! ».
Ce furent les dernières paroles du Gardien, ensuite, il se retira solennellement.
Une autre nuit : hors de mes corps suprasensibles, dans le plein exercice de mes fonctions, comme Atman ou Homme-Esprit.
En plein Nirvana : je me trouvais seul sur la belle terrasse de la Maison des Délices, dans le coin de l’amour.
Je vis les habitants de cette région, en nombre toujours croissant, flottant dans l’Espace sacré.
Les heureux s’assirent sur le tapis couvert de fleurs parfumées. Algorithmie divine, Souffle sublime, Noumène inoubliable (...)" .
La créature ignée improvisée prit la parole au nom de la confrérie sacrée et dit : « Mon cher Frère, pourquoi prenez-vous ce chemin si dur ? Ici, dans le Nirvana nous sommes heureux. Restez ici avec nous ! ». Ma réponse pleine d’énergie fut la suivante :
« Les animaux intellectuels n’ont pas pu avec leurs tentations, encore moins vous, les Dieux ! Je pars pour l’Absolu ! ».
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| Samaël Aun Weor dans le Sumum Supremum Sanctuarium (SSS). |
Une nuit parmi tant d’autres, alors que je me trouvais tout heureux en état de Samadhi, je vis resplendir la planète Mars dans des tons pourpres.
Ses vibrations étaient certainement de caractère télépathique ; je sentis dans mon cœur paisible que l’on m’appelait de toute urgence depuis le noyau central de cette masse planétaire ; son scintillement était caractéristique.
Je me transportais rapidement, vêtu du To Soma Heliakon (le corps astral) jusqu’aux entrailles vivantes de ce monde.
Vêtu de l’habit des milices célestes, m’attendait resplendissant Samaël, ma propre Monade individuelle, mon Être intime véritable, le Divin régent de cette planète.
Je me prosternais avec révérence devant l’Omniscient, illustre Seigneur de ce lieu, et ensuite, prenant la parole, je dis :
« Père, me voilà ! pourquoi m’avez-vous appelé ? ».
« Toi, mon fils, tu m’as oublié ! ».
« Non, mon Père ; je ne t’ai pas oublié ! ».
« Si, mon fils, quand s’ouvre à toi la conciergerie de l’Univers, tu m’oublies ! ».
« Ô mon Père, je suis venu te baiser les mains et recevoir ta bénédiction ! ».
L’Omnimiséricordieux me bénit et, agenouillé, je baisais sa main droite. Dans le fond du Temple planétaire, on apercevait un lit de douleur.
Par la suite, je me plongeais dans une profonde réflexion :
Pourquoi ai-je choisi moi-même le chemin ? Pourquoi ai-je oublié mon Père devant la terrifiante présence du Gardien des Chemins ?
Jésus, le Grand Prêtre Gnostique, nous donna une grande leçon sur le Mont des Oliviers quand il s’exclama :
« Mon Père, si cela est possible, éloigne de moi ce calice, mais que ta volonté soit faite et non la mienne ».
Dix-huit ans après :
Fulminant et les yeux lançant des éclairs, je déchirais mes vêtements en protestant pour tant de douleur. Aïe ! aïe ! aïe !
Une Vierge du Nirvana me répondit : « Ainsi est le chemin que tu as toi-même choisi. Pour nous, les habitants du Nirvana, les triomphes sont mineurs et pour cela il est évident que nous souffrons moins ».
« Mais comme tes triomphes seront majeurs, tes souffrances aussi seront plus intenses ».
Quand je voulus me reposer un peu, les Agents du Karma me réprimandèrent en disant : « Que vous arrive-t-il, Monsieur ? Allez vous avancer ? Ami, circulez ! circulez ! circulez ! ».
Je continuais patiemment ma marche par le sentier rocailleux qui conduit à la libération finale".
(Fin de citation).
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| Peinture traditionnelle khmère représentant le Bouddha lorsqu'il est reçu par les vierges du Nirvana. Photographie par : Chanrasmey Miech. Travail personnel. Plus de détails. > |
Vous n'avez pas besoin de devenir un bodhisattva pour vous libérer.
Le Chemin Droit est la voie des bodhisattvas qui renoncent au Nirvana pour marcher directement vers l'Absolu.
Le Chemin en Spirale est suivi par les disciples qui ont choisi la route la plus lente vers la libération.
Les deux voies précédentes mènent à la libération et il existe un troisième voie : Le Chemin du Renoncement à la Renaissance dans un nouveau corps physique.
Or, les bodhisattvas ne sont pas obligés de renoncer définitivement au Nirvana ou à l'Absolu. Ce renoncement est volontaire.
Pour se libérer de la roue de la naissance et de la mort, il n'est pas indispensable de devenir bodhisattva ou de renoncer à l'Absolu.
Ce renoncement est fait par amour, mais quelqu'un peut être libéré avec moins de souffrance.
Samaël Aun Weor nous a parle sur deux chemins pour atteindre la liberation: le Chemin Droit et le Chemin en Spirale.
Mais il y a un Trosième Chemin : Le renoncement radical à la roue des morts et des naissances.
L'immense sacrifice du bodhisattva ne relève pas d'un processus d'initiation forcée, mais d'une mission volontaire.
Une personne mentalement entraînée, experte dans les pratiques de concentration et de méditation, peut refuser la renaissance, dès l’instant où elle meurt.
Diverses visions terrifiantes ou attirantes tenteront de piéger la personne désincarnée pour la faire renaître dans un nouveau corps physique.
Mais si le disciple est bien formé, il ne se laissera pas séduire par ces fantasmes.
Alors la personne désincarnée est happée par l’ouragan du karma qui le fait tourner de manière vertigineuse alors qu’il s’enfonce dans le vide.
Divers portails apparaîtront devant la personne désincarnée, mais s'il entre dans l'un d'eux, il sera lié à un nouveau corps physique.
Des êtres apparemment compatissants tendront les bras en signe d’aide ; mais si le sujet s'y accroche, il renaîtra.
L’ouragan du karma est électrique et va envelopper le sujet.
Bref, si la personne désincarnée se détache de tout, si elle est courageuse, si elle refuse de penser à la douleur ou à la joie des peuples du monde, si elle rejette toute vision du passé ou du futur, elle sera reçu par les habitants du Nirvana et ne reprendra plus un corps physique.
Pour parvenir à la libération par quelque moyen que ce soit, une préparation préalable est toujours nécessaire.
Par conséquent, nous devons mettre en pratique le Travail ésotérique Gnostique. >
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| Sarvavid Vairocana Mandala (le Bouddha omniscient). Peinture du 18ème siècle. Auteur inconnu. Musée d'art Rubin. |
Quel que soit votre style, votre école ou votre religion, la chasteté scientifique, la Psychanalyse intime et le sacrifice pour l'humanité seront toujours essentiels.
Dans le Bakthi Yoga, la libération est recherchée en concentrant le mental et les sens dans la dévotion à un dieu. C'est l'équivalent de Le Troisième Chemin. Mais dans tous les cas, le dévot doit s'entraîner à la méditation et à la mort de l'ego, afin que la peur et les attachements ne le fassent pas échouer au dernier moment.
Le rituel des morts :
Guru Padmasambhava, fondateur du Bouddhisme tibétain, a enseigné le Rituel des morts pour guider les disciples désincarnés afin qu'ils ne se réincarnent plus. Ce savoir fait partie de Le Troisième chemin de libération. Dans notre prochain rapport, nous expliquerons le Rituel tibétain pour guider les morts. C'est une procédure précieuse. Cliquez ici pour connaître la méthodologie. >
Dans les études supérieures de Science cosmique, une procédure similaire est appliquée pour la formation d’un Chela au voyage astral.
Ainsi, un étudiant Gnostique bien entraîné à la méditation peut rapidement se libérer de la Roue des morts et des naissances, sans suivre ni le Chemin Droit ni le Chemin en Spirale.
Les moines de Le Troisième Chemin se préparent par le jeûne et une discipline physique et mentale rigide.
C'est la troisième voie de libération, révélée avec compassion par le vénérable Maître Padmasambhava.
C'est le Chemin du Renoncement Radical à la Roue du Samsara.
Chaque être humain peut se libérer.
Cependant, seul un bodhisattva réalisé a le droit de continuer dans les mondes supérieurs en tant que roi et prêtre de l'univers.
Le bodhisattva pourrait également faire le Grand Bond, ce qui signifie transporter son corps physique au-delà de notre Système Solaire ou de la galaxie.
Le corps physique vivant sur une étoile lointaine est immédiatement libéré du karma terrestre, car d’autres lois régissent au-delà de notre Système Solaire.
Ces Maîtres réalisent sa propre mission aux côtés du peuple, soyant aussi des intermédiaires d'autres bodhisattvas qui vivent heureux au Maha-Para-Nirvana et au-delà.
C'est le Travail diplomatique des bodhisattvas.>
Les hiérarchies du cosmos infini ont fait preuve de compassion envers les habitants de la Terre.
Mais le mal sur notre planète a dépassé les limites.Paix inverentielle !
Dimache 19 mai 2024.
(Basé sur le temps universel coordonné / UTC)
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Rapport précédent associé =
-
Le rituel tibétain des morts comme Troisième voie de libération. >
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